posté le 27-04-2007 à 19:50:59

FAUT PAS SE PRENDRE LA TETE RESTONS ZEN

z e n 
Un canard dans le café. J'ai du mal à digérer, parfois, Tous les papiers mâchés Qui se prennent à mon filet De voix. Pauvre pêcheur, Fallait lire entre mes lignes, Pas mordre à mes sautes d'humeur Même si je n'en suis pas digne. Fallait rester Zen. Soyons Zen, Du sang froid dans les veines, soyons Zen Plus de choc à la chaîne. Zen, restons Zen, Du calme à la vie comme à la scène, Sans amour et sans haine. J'suis pas dans l'vent des guignols, De ces joueurs en fond de court, De ceux qui, pour un p'tit bout d'atoll, Sont prêts à larguer les amours, Tous ces maîtres-chanteurs Qui manquent de coffre et de hauteur. C'est facile de compter les erreurs Quand on ne joue pas la scène. L'erreur est humaine. Soyons Zen. Du sang froid dans les veines. Soyons Zen Plus de choc à la chaîne. Zen, restons Zen. Du calme à la vie comme à la scène, Sans amour et sans haine. Zen, Zen, Zen, Zen. Zen, restons Zen. Du sang froid dans les veines, Zen Plus de choc à la chaîne, Zen. Du calme à la vie comme à la scène, Sans amour et sans haine, Zen, Sans amour et sans haine, Zen, Sans amour et sans haine, Soyons Zen, Zen.
 


 
 
posté le 23-04-2007 à 13:41:02

APRES LE PREMIER TOUR VIENT LE SECOND

IL VA FALLOIR REGONFLER LES  PNEUS ET LES BATTERIES ET REPARTIR VOTER LE COLLEUR D AFFICHES VA AVOIR DU TRAVAIL
 


 
 
posté le 15-04-2007 à 08:21:38

BIENTOT LA FIN DES JONQUILLES

Des Jonquilles Aux Derniers Lilas
J'ai connu Emilie aux premières jonquilles. Elle était si jolie des jonquilles aux derniers lilas. Dans la ferme endormie, chaque fois que j'allais la voir, Son père avec un fusil m'attendait derrière l'abreuvoir. Il me chassa aux premières jonquilles, Me fusilla des jonquilles aux derniers lilas. Un jour, dans la grange aux loups, aux premières jonquilles, Elle sauta sur mes genoux des jonquilles aux derniers lilas. Une fourche me piqua, je me relevai en hurlant. J'eus beau fuir à travers bois, son père me jeta dans l'étang. Il me piqua aux premières jonquilles Et me fourcha des jonquilles aux derniers lilas. Dans le grenier, sur le foin, aux premières jonquilles, Pris sa fille et bus son vin des jonquilles aux derniers lilas. Son père, voyant le tableau, me fit connaître un peu plus tard Les grenouilles et les crapauds au fond de la mare aux canards. Il m'injuria aux premières jonquilles Et me noya des jonquilles aux derniers lilas. J'ai connu le sel et le plomb aux premières jonquilles. J'ai connu l'auge à cochon des jonquilles aux derniers lilas. J'ai laissé mes amours là, mille fois j'ai frôlé la mort. Est-il encore derrière moi ? Que m'importe ? Je cours encore. Je vais, je va aux premières jonquilles Du pré au bois des jonquilles aux derniers lilas. La la la-la-la la la la...
 


 
 
posté le 14-04-2007 à 09:44:48

LES ARBRES SONT EN FLEURS VIVE LE PRINTEMPS

LES CERISIERS SONT BLANCS
 


 
 
posté le 13-04-2007 à 13:27:58

ON SE CROYAIT AU PRINTEMPS ET BIEN NON

ENCORE ET ENCORE
D'abord vos corps qui se séparent T'es seule dans la lumière des phares T'entends à chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se déchire Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... L'instant d'après le vent se déchaîne Les heures s'allongent comme des semaines Tu te retrouves seule assise par terre À bondir à chaque bruit de portière Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant... La même nuit que la nuit d'avant Les mêmes endroits deux fois trop grands T'avances comme dans des couloirs Tu t'arranges pour éviter les miroirs Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant...personne... Faudrait que t'arrives à en parler au passé Faudrait que t'arrives à ne plus penser à ça Faudrait que tu l'oublies à longueur de journée Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas Et ça te fait marrer les oiseaux qui s'envolent Les oiseaux qui s'envolent Les oiseaux qui s'envolent Tu comptes les chances qu'il te reste Un peu de son parfum sur ta veste Tu avais dû confondre les lumières D'une étoile et d'un réverbère Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... Y a des couples qui se défont Sur les lames de ton plafond C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant...personne Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant...personne... Y a des couples qui se défont C'est toujours le même film qui passe Le même film qui passeCHANSON DE FRANCIS CABREL
 


 
 
posté le 12-04-2007 à 13:35:52

QUE DES REVES DE BEAUTE

 


 
 
posté le 10-04-2007 à 13:29:39

ENCORE UNE PETITE FABLE DE JEAN DE LA FONTAIRE

Le Loup, la Chèvre et le ChevreaU

La bique allant remplir sa traînante mamelle,             Et paître l'herbe nouvelle,             Ferma sa porte au loquet,             Non sans dire à son biquet:             «Gardez-vous, sur votre vie,             D'ouvrir que l'on ne vous die,             Pour enseigne et mot du guet (1) :             «Foin (2) du loup et de sa race!"»             Comme elle disait ces mots,             Le loup de fortune (3) passe;             Il les recueille à propos,             Et les garde en sa mémoire.             La bique, comme on peut croire,             N'avait pas vu le glouton. Dès qu'il la voit partie, il contrefait son ton,             Et d'une voix papelarde (4) Il demande qu'on ouvre en disant: « Foin du loup!»             Et croyant entrer tout d'un coup. Le biquet soupçonneux par la fente regarde: «Montrez-moi patte blanche, ou je n'ouvrirai point,» S'écria-t-il d'abord. (Patte blanche est un point Chez les loups, comme on sait, rarement en usage.) Celui-ci, fort surpris d'entendre ce langage, Comme il était venu s'en retourna chez soi. Où serait le biquet s'il eût ajouté foi             Au mot du guet, que de fortune             Notre loup avait entendu?             Deux sûretés valent mieux qu'une, Et le trop en cela ne fut jamais perdu.
 


 
 
posté le 08-04-2007 à 18:55:36

DIMANCHE DE PAQUES PRESQUE TERMINE

ET ENSUITE UN PETIT VERRE A LA FONTAINE
 


 
 
posté le 07-04-2007 à 10:14:41

BONNES FETES DE PAQUES A TOUT LE MONSE

BONNE CUEILLETTE POUR LES ENFANTS QUI VONT CHERCHER LES OEUFS DANS LE JARDINREMPLISSEZ VOS PANIERS IL VA FAIRE BEAU CETTE ANNEE TOUS A LA RECHERCHE                                                                  
 


 
 
posté le 06-04-2007 à 14:36:47

VENDREDI AVANT PAQUES

POURVU QUE CA DURE TOUT LE WEECK END UNE PETITE FABLE DE JEAN DE LA FONTAINE

LE MULET SE VANTANT DE SA GENEALOGIE

 


 
 
posté le 05-04-2007 à 17:44:52

JOURNEE DE LA COURTOISIE

                              LE LOUP ET LA CIGOGNE
Les Loups mangent gloutonnement.             Un loup donc étant de frairie (1),             Se pressa, dit-on, tellement             Qu'il en pensa perdre la vie. Un os lui demeura bien avant au gosier. De bonheur pour ce loup, qui ne pouvait crier,             Près de là passe une cigogne.             Il lui fait signe, elle accourt. Voilà l'opératrice (2) aussitôt en besogne. Elle retira l'os; puis, pour un si bon tour,             Elle demanda son salaire.             Votre salaire? dit le loup,             Vous riez, ma bonne commère.             Quoi ! Ce n'est pas encor beaucoup D'avoir de mon gosier retiré votre cou ?             Allez, vous êtes une ingrate ;             Ne tombez jamais sous ma patte (3).
 


 
 
posté le 04-04-2007 à 18:19:30

UNE PETITE FABLE DE JEAN DE LA FONTAINE

   LE LABOUREUR ET SES ENFANTS
 


 
 
posté le 04-04-2007 à 15:43:05

MERCREDI AVANT PAQUES

ELLES SONT TROP MIMIS
 


 
 
posté le 03-04-2007 à 20:06:32

SEMAINE AVANT PAQUES LUNDI JOUR FERIE

La vie à deux

La vie à deux c'est l'échange entre deux êtres Un échange que l'on doit peupler de certitudes Et que si on ne veut pas tomber dans la servitude On doit agir et mettre de coté les peut être. La vie à deux c'est l'amitié qui unit le couple L'amitié que la nuit venue se transforme en passion Et que la complicité se veut plus souple Ou l'on peut laisser aller nos émotions. La vie à deux c'est le partage de tous les jours Le partage des peines et des joies Les peines qu'on absorbe et les joies qu'on savoure C'est en ces mots que de notre amour je fais foi. La vie à deux c'est l'union de deux amants L'union qui fait vibrer les corps et les coeurs Si heureux  nous sommes en ce moment

 


 
 
posté le 02-04-2007 à 15:53:17

UN LUNDI PAS COMME LES AUTRES

PETIT POEME
Toi, rose rouge, on t'a semée
 


 
 
posté le 01-04-2007 à 15:06:45

PREMIER AVRIL DEJA

C EST LE PROVERBE DE NOS ANCIENS QUI DISAIT CELA ILS N AVAIENT PAS TOUT A FAIT TORTON SE CROIRAIT AU PREMIER AVRIL IL Y A DES POISSONS PARTOUTCHAT ALORS !!